[2007] ARCHIVES

"Salut le peuple,
Quelle journée! Quelle nuit! On peut toujours pas croire que ça s'est vraiment passé. On s'attendait carrément pas à recevoir vraiment cet écho (encore une fois) et notre surprise était d'autant plus grande! C'est vraiment cool.
On peut à peine décrire ce que ça signifie pour nous. Pas seulement parce que c'est la reconnaissance de ce qu'on a fait, mais aussi surtout parce que vous avez rendu ça possible - ce prix vient de vous, les meilleurs fans du monde.
On sait qu'il n'y a pas beaucoup de possibilités pour vous rendre tout ce que vous faites pour nous - peut importe où et quand on arrive, vous êtes déjà là à nous attendre. Pour ça et pour toutes vos lettres, qu'on reçoit chaque jour, pour votre soutien et pour le fait que vous soyez toujours derrière nous nous voulons vous dire MERCI et vous dédier notre ECHO. Dans quelques jours ça recommencera et on commencera la tournée. On se réjouit vraiment de vous revoir enfin. On a hâte de voir ce que notre surprise va vous faire. Ca sera notre tour de vous surprendre. En gros, MERCI BEAUCOUP. Votre Tom, Bill Gustav et Georg"

Qu’est-ce que vous avez ressenti au moment de la sortie de votre second album?

Bill : C’est génial, après tant de temps passé en studio, de voir notre album dans les rayons des magasins de disques, c’est un moment toujours très fort pour un groupe. À la sortie du studio on sait ce que l’on pense de notre album, mais on a hâte de savoir ce que le public va en penser. On a toujours un peu peur en attendant les réactions. Aujourd'hui on est soulagés parce que les avis sont très positifs.

Pourquoi avoir appelé l’album "ZIMMER 483" (chambre 483), qu’est-ce que cette chambre a de spécial ?

Tom : Ça date de nos vacances en Espagne, l’an dernier, où nous avions décidé de nous reposer et d’écrire des chansons en même temps. On avait loué une maison un peu délabrée en Espagne qui portait le numéro 483, c’est là que nous avons écrit la première chanson de notre second album "WIR STERBEN NIEMALS AUS " (Nous ne disparaîtrons jamais). On a trouvé que ça caractérisait bien ce nouvel album.

Racontez-moi un de vos derniers délires en studio lors de l’enregistrement de l’album...

Bill : Nous avons enregistré l album à la campagne donc il n’y a pas eu de trucs spécifiques, mais ça a été intense et nous nous sommes bien marrés tous ensemble.
Tom : Il faut quand même dire qu’il y a un appartement au dessus du studio, où nous habitions, et c’était le gros bordel ! Chaque semaine il y avait une femme de ménage qui passait et qui nettoyait tout au Kärcher !

On sent l'influence de groupes comme les Smashing Pumpkins, Nirvana ou Metallica pour la ballade "SPRING NICHT" (Ne saute pas), est-ce que ce sont des sources d’inspiration?

Bill : On ne peut pas se comparer à ces légendes du rock, mais ils nous influencent beaucoup comme d’autres groupes car nous avons des goûts personnels très différents qui font que nous avons un son bien à nous.

Pourquoi avoir écrit la chanson "SPRING NICHT" (Ne saute pas) qui parle du suicide ?

Bill : On a écouté nos cœurs parce que l’an dernier nous avons reçu beaucoup de lettres et d’e-mails de nos fans, nous avons été sur les forums sur Internet et on s’est aperçu que le suicide est une chose à laquelle beaucoup de monde pense, pas toujours sérieusement, mais certains pensent vraiment passer à l’acte. C’est un sujet qui est présent très tôt dans la tête des adolescents. Ca arrive à la suite de la première rupture, de la perte d’un être cher et on ne sait plus ce qui nous retient dans la vie... C’est un sujet que nous avons voulu traiter parce qu’il nous a touchés.

Est-ce qu’il y a un morceau qui vous tient particulièrement à cœur sur cet album ?

Bill : C’est difficile à dire car chaque titre à sa propre histoire, ses propres caractéristiques, ils ont tous quelque chose de nous. Il y a des chansons que je préfère écouter et d’autres jouer en live et pour l' instant ma favorite est "WO SIND EURE HANDE" (Où sont vos mains ?).
Tom: Moi c’est "SPRING NICHT" (Ne saute pas) et "TOTGELIEBT" (Aimés à mort).
Gustav : Celle sur laquelle je m’éclate le plus c’est "ICH BRECH AUS" (Je m' échappe).

Avez-vous le temps de faire autre chose que de la musique ?

Bill : On n’a pas vraiment d’autres talents donc on n’a pas d’autres occupation. Chanter et écrire des chansons sont les seules choses que j’ai toujours aimé faire. D' ailleurs j’ai encore des progrès à faire dans ce domaine. Personnellement, je n’ai jamais aimé faire de sport.
Gustav : Quand j’ai un peu de temps je vais faire du vélo.
Georg : J’adorais jouer du hand-ball.
Tom : Il jouait dans une petite équipe locale et il était sans doute le meilleur joueur, il aurait pu aller loin !

Racontez-moi votre pire et votre meilleur moment avec une fan...

Bill : Je ne peux pas dire que j' ai eu de mauvais moments avec une fan, il n' y a que des moments super et on en vit tous les jours, comme lorsque nous sommes allés un matin à NRJ et qu' il y avait six cents personnes qui nous attendaient.
Tom : Il y a eu un truc marrant en Hollande, c’était une fille qui voulait écrire sur une banderole "Baise-moi", et qui s’était trompée et a écrit "Baise-toi". On a très bien compris quand même ! (rires).

Est-ce que vous avez parfois peur des réactions excessives de vos fans ?

Bill : De temps en temps c’est très impressionnant, mais ça nous rend très heureux, parfois on a même du mal à y croire ! Nous nous connaissons très bien, alors ça nous surprend de voir ces filles crier pour nous parce que souvent on oublie tout ça.
Tom : Personnellement je suis super content quand les filles crient mon nom ! (rires).

Après avoir fait la voix de "Arthur et les Minimoys", est-ce que ça t’as donné envie de faire du cinéma ?

Bill : C’était une expérience vraiment mortelle et je m’imagine bien continuer dans cette voie-là : faire des doublages et même pourquoi pas avoir un vrai rôle. Je suis ouvert aux propositions et notre succès actuel nous permet d’essayer plein de choses nouvelles, on en profite à fond. Mais la base ça restera toujours la musique. Je pense que chacun d' entre nous fera un jour quelque chose en dehors de la musique.

Dans quel genre de film aimerais-tu jouer ?

Georg: Dans un film X ! (rires).
Bill : Ok, mais avec Angeline Jolie ! (rires). Je ne suis pas scénariste donc il va falloir que j’attends qu’on me propose de bon projets, un peu comme "ARTHUR", car quand j’ai découvert le film, j' ai tout de suite aimé l' ambiance et l' univers des héros. Pour jouer en vrai il faudrait vraiment que je trouve un rôle qui m’aille parfaitement pour que je puisse exprimer mes émotions librement. Personnellement je kiffe les films de vampires, de sorcières...
Tom : Moi aussi, mais quand j’avais six ans ! (rires).

Pourquoi ne pas jouer le fils de Jack Sparrow dans un éventuel "Pirates des Caraïbes" ?

Bill : Pourquoi pas ?
Tom : C’est vrai que tu est vraiment du genre petit pirate ! (rires).

Vous vous voyez toujours ensemble dans dix ou vingt ans ?

Bill : On peut envisager de rester longtemps ensemble parce que nous nous connaissons depuis très longtemps et nous nous aimons trop pour imaginer nous séparer un jour. Je pense que nous resterons toujours ensemble pour faire de la musique même si nous ferons sûrement des projets chacun de notre côté. Chacun a le choix de faire ce qu’il veut en dehors du groupe.

La chanson "WIR STERBEN NIEMALS AUS" (Nous ne disparaîtrons jamais), parle-t-elle de ça ?

Bill: Cette chanson ne parle pas uniquement de rester ensemble toute notre vie. Elle répond plutôt à la question : Que deviendrons-nous après notre mort ? J’y ai beaucoup réfléchi et pour moi chaque personne est sur Terre pour laisser quelque chose derrière elle quand elle meurt. Je ne peux pas imaginer que tout est fini après la mort et qu’il ne reste rien de nous. Je pense que chaque personne, célèbre ou pas, laisse quelque chose le jour où elle part.

Il y a plusieurs chansons qui parlent de ruptures, alors préférez-vous quitter ou être quitté ?

Bill : Je n’arrive pas à rompre, je trouve ça très difficile. Même quand je suis loin de la personne que j’aime, c’est très douloureux pour moi. Je préfère laisser le choix à la fille de rompre et quoi qu’il arrive, il y a toujours quelque chose qui nous lie. Heureusement, je n’ai pas eu souvent à vivre ça.
Tom : Moi c'est toujours les filles qui me larguent !

Bill, jusqu'où vas-tu te laisser pousser les cheveux ?

Bill : Aucune idée, je le fais selon mon envie !
Tom : Jusqu' aux fesses ! (rire).

Qu’allez-vous faire le 1er septembre pour vos dix-huit ans ?

Bill : Nous allons faire une grosse fête qui se finira par un énorme gâteau avec une surprise à l’intérieur !
Tom : Angélina Jolie en sortira toute nue ! (rire).

Regrettez-vous de ne plus aller à l’école ?

Tous en chœur : Non !
Bill : Tom et moi continuons quand même à suivre les cours, mais pas de manière classique. Pour nous c’est le seul moyen de continuer les études et je crois que c’est une bonne décision.

Cette fois ci, le relais c'est TOKIO HOTEL, image déjà exploitée dans les années quatre vingt, avec entre autres LES RUBETTES ou encore BAY CITY ROLLERS, sur un plan planétaire ou encore les KOEURS dans notre hexagone. L'idée est simpliste, trouver quatre garçonnets dans le vents, façon beaux gosses avec si possible un leader "karismatique" au look parfait, et le tour est joué. J'voudrais pas être banal en vous déclarant, que ce n'est certainement pas eux qui jouent sur les albums, mais je vous laisse ce fiel au vestiaire, et rêvons un peu dans ces températures mitigées de la création artistique.

Le leurre est génial et toutes les gamines s'engouffre avec frénésie dans l'intervalle, sans se soucier et c'est normal de la provenance de la création. Seul le résultat compte et c'est le principal ; mélodies accrocheuses, tempo idéaux pour tubes, hystérie collective tout y est. Phénomène de mode sans aucun doute en attendant l'émergence d'une nouvelle tendance, l'effet est garanti. Pendant ce temps, occuper le terrain est primordial. Donc Haro sur TOKIO la nouvelle bombe sans retardement du système. Crachez, envoyez du venin, mais applaudissez des deux mains, dommage que ces bambins ne possède pas en plus la verve et le verbe cela aurait été le comble. Par contre ils chantent en allemand et ça ce n'est pas banal. "On est très étonnés, que ce soit en France, à Moscou ou ailleur en Europe d'entendre le public chanter dans notre langue natale, c'est super."

Mais que restera-t-il de nos amours, et ce n'est-on pas une nouvelle fois en présence d'une Téléréalité qui risque à coup sur de mal se terminer? "On éprouve une certaine nostalgie par rapport à notre vie antérieure et la réussite de notre premier album nous a éloigné de nos vies privées" Par contre, leur esprit n'est certes pas banal "On rencontre des gens qui font de la musique pour amasser de l'argent, ce qui n'est pas notre cas" Ah oui j'oubliais, d'autres l'amassent pour eux autant pour moi. Mais il faut bien que jeunesse se passe et s'encre dans une réalité qui lui ressemble, et là les gosses sont parfaits. Mais je serais absout et pardonné car : "La tristesse et le pardon sont nos plus grandes sources d'inspiration"

Amen

Le groupe de rock d'outre-Rhin suscite des vocations pour les cours de langue chez ses jeunes admirateurs.
L'Allemagne a trouvé denouveaux ambassadeurs.Ils sont quatre,ont à peine 20ans et sont en train de conquérir la jeunesse francaise en musique!Mais qui sont-ils?Les Tokio Hotel, bien sur.Ce groupe de rock allemand explose littéralement les hit-parades de nos voisins germaniques et joue,dans l'Hexagone,tous ses concerts à guichets fermé.Certains les surnomment déjà les Jackson Five durock'n roll",alors que d'autres voient en eux "Indochine version ado".Toujours est-il que leur nom est sur toutes les lèvres et que leur musique résonne dans toutes les têtes des jeunes Françaises de 12 à 17ans.Mais le phénomène Tokio Hotel ne se contente pas de rendre hystériques les adolecentes,il leur donne également l'envie irrépressible d'apprendre l'allemand!
Mariannea interrogé Victoire,14ans."J'ai trop envie de pouvoir comprendre toutes les paroles,dit-elle.J'ai pensé aux cours particuliers,mais mon emploi du temps est trop chargé.Je ne peux pas changer ma seconde langue alors j'apprends seule avec Internet ou avec mes copines."Tokio Hotel est finalement une formidable campagne de publicité pour la langue de Goethe.
Warum nicht?

Journaliste: quel est ton secret inavoué Georg?
Georg : Un jour , Je me suis disputé avec un ami tout à fait par hasard , quand j'avais huit ans. Il a couru dehors et j'ai pris une pierre et je lui ai jeté. Parce que j'avais peu de force, la pierre a atterri au milieu du capot d'une Mercedes Benz blanche. J'ai couru me cacher dans ma chambre. Ensuite je n'ai pas mis le nez dehors pendant trois semaines ! Ce n'était jamais sorti jusqu'à maintenant....
Et toi Bill ?

Bill : je suis sorti avec mes copains un soir , mais aucun de nous n'avait d'argent. Nous avons voulu faire un pari : Celui qui boit le plus longtemps a gagné. Nous avons bu un tas de champagne et de cocktail et avions une note élevé. Je me suis accroupi sur la table car j'étais le dernier à avoir tout bu ! Et alors est arrivé le serveur et il voulait son argent. Je lui ai dit que je devais encore aller aux toilettes. Et alors, j'ai pris mes jambes à mon cou et suis partie par la porte de sortie en courant. Si j'avais su !
Et toi Gustav , tu es un ange ?
Gustav : Et bien, J'ai aussi mon mauvais coté. Quand mon copain et moi on s’ennuyait, nous prenions un peu caca de chien et nous le mettions dans une pile de journaux. Nous avions mis le paquet devant une porte de maison, l'avons allumé, avons sonné et sommes partie. Alors, le type sortait, voyait les journaux brûlant et essayait de l'éteindre en le piétinant. Le feu était faible, alors il l'éteignait rapidement, mais il avait un tas de merde collé à sa chaussure. C'était trop marrant !
Le secret inavoué de Tom :
Tom : Pendant un certain temps je volais les clés de la voiture de mon beau-père. J’étais entrain de conduire avec mon ami une Renault Clio. C’est arrivé dans notre village. Il n’y avait pas beaucoup de voiture en ce temps-là, mais malheureusement j’ai perdu le contrôle, on s’est planté contre arbre et ça a déformé la voiture. Je n’ai jamais rien dit à mon beau-père. Et il croit toujours que quelqu’un a cogné sa voiture contre la sienne. Il le croit toujours enfin jusqu’à aujourd’hui…

1 Carte postale de Bill et Tom
Une fiche chanson de Spring Nicht
6 pages sur le groupe.

Ce n'était pas la première fois que vous veniez jouer en France, un pays où on n'est pas très doué pour les langues étrangères, mais vous n'avez pas été surpris de voir et d'entendre presque la totalité du public chanter pratiquement toutes vos chansons?

Bill: On s'y attendait quand même un petit peu puisqu'on avait vu que le public chantait déjà pas mal. Mais on a quand même été un peu surpris parce que ça a été super pendant tout le show.
Tom: On est d'autant plus impressionnés que nous sommes plutôt fainéants sur les langues étrangères. On ne parle pas un mot de français, alors voir autant de fans y arriver aussi bien reste étonnant pour nous.
Sur scène, vous arrivez à fixer votre attention sur des regards, ou vous regardez le public dans son ensemble?

Bill: Je joue beaucoup avec le public quand je suis sur scène. Je suis vraiment en contact avec lui. Bon c'est vrai que c'est difficile quand c'est une grande salle. Mais dans de petites comme à Paris, on arrive à distinguer des visages.
Tom: C'est vrai que quand on est sur scène pendant 1h30 dans des petites salles, on peut presque dire qu'on
pourrait reconnaître tout el monde à la fin du concert. On retient des visages, et on reconnaît certains de ceux qu'on a déjà vus auparavant.

Y'a t'il des fans de manga dans le groupe, et aimeriez vous voir un jour un manga Tokio Hotel?

Bill: En Allemagne, on va souvent au ciné voir des films dans ce style. Je suis très impressionné par la qualité de l'animation, surtout quand on sait que la plupart de ces dessins animés sont réalisés en très peu de temps. Je ne dirais pas que je suis un vrai fans de mangas, je n'en lis pas, mais je trouve que le style est sympa.
Où en êtes vous de votre album en anglais?
Bill:On l'enregistre petit à petit dès qu'on a un peu de temps, mais il ne sera destiné qu'au marché anglais pour la compréhension. Il s'agit d'une traduction littérale de nos textes et sortira sous le titre "Scream".
Tu n'as pas de difficultés en anglais?
Bill: Non ce n'est pas si dur que ça. J'ai même déjà chanté en japonais pour notre premier single. Mais je préfère de loin continuer à chanter et écrire en allemand.
Vous avez aussi repris "Instant karma" de John Lennon en anglais, qui avait eu cette idée?
Tom: On a reçu une demande de la part d'Amnesty International pour faire une reprise de John Lennon. On aimait aussi l'idée de s'engager dans cette action pour les Droits de l'Homme à portée internationale. En studio on a pris beaucoup de plaisir à l'enregistrer, mais ce titre est uniquement destiné à l'album "Make some noise" au profit d'Amnesty.
Qui est le moins sage dans le groupe? On dit que c'est toi Tom...
Tom: Non il ne faut rien exagérer.
Bill: On ne peut pas dire qu'il y a un dingue dans le groupe. On a chacun des moments où on se laisse aller plus qu'à d'autre, de même qu'on peut être de bonne ou de mauvaise humeur suivant les jours. On ne peut pas généraliser.
Et dans votre vie de tous les jours, quels sont vos centres d'intérêts en dehors de la musique?

Georg: Le sommeil...j'aime dormir!
Bill: On a tous besoin de dormir. Moi j'aime écrire et composer des chansons, travailler ma voix aussi... Ma famille est également très importante pour moi. Mais je n'ai pas d'autre passion que la musique.
Gustav: J'adore faire du vélo!
Georg: Faire de la musique est déjà énorme...
Tom: On n’a pas vraiment le temps d'avoir d'autres occupations. Même avant on ne faisait pas grand chose. On a tous essayé des activités, moi j'ai fait un peu de karaté, mais rien ne nous a éloigné de la musique.
Votre premier album vient à peine de sortir en France, mais il a déjà plus d'un an. Où en êtes vous du suivant et à quoi faut-il s'attendre?

Bill: Il est encore trop tôt pour en parler, mais tout ce qu'on peut dire c'est qu'il est presque terminé. Il sortira au début de l'année 2007 en Allemagne. On ne sait pas encore pour la France. Je pense qu'on sentira une certaine progression...
Tom: Même si on ne voit pas comment on pourrait faire mieux que notre premier album! (rires)
Bill : On perçoit quand même une évolution au niveau de la composition du jeu et de la voix. Avec tous les concerts qu'on a donnés, on a pris de
l'assurance.